Atteindre les Cimes du football

1.01- Pilote [ Atteindre les Cimes du football]


«La cuisine est le plus ancien des arts parce que Adam naquit à jeun.»
Anthelme Brillat-Savarin*


Dans une maison de Caluire-et-Cuire, rue Eugène Villon, là où vécut l'abbé Pierre et à proximité de la maison où fut arrêté Jean Moulin, le réveil de Sébastien M. va sonner.
Il est 06H30, de mon portable résonne la douce musique du clip "The Game" de Motörhead.

Une fois douché, rasé et après avoir pris mon petit déjeuner, je prends mon cartable en cuir noir, et je me dirige vers la station de métro Cuire.

Avant de monter dans le métro, je regarde le plan des lignes :
Prendre le métro C jusqu’à Hôtel de ville, prendre la ligne A en direction de Perrache, s’arrêter à Bellcour, et de là prendre la ligne D en direction de gare de Vaise et descendre à Gorge de Loup.

Dans le métro, je cède ma place à une personne âgée et me met à repenser aux 12 dernières années :

« 1996, j’ai 20 ans et je viens de réussir mon bac pro d’hôtellerie.
Mon premier employeur est le patron d’un bouchon lyonnais, c'est un restaurant typique où l'on mange des spécialités, dont le tablier de sapeur, les quenelles, la salade lyonnaise, la cervelle de canut... Le tout est généralement arrosé d’un verre de Beaujolais ou de Côtes du Rhône.
A propos de cette cuisine local, un de mes auteurs préférés, Stendhal, l'évoquait comme ça:
« Je ne connais qu'une chose que l'on fasse très bien à Lyon, on y mange admirablement, et, selon moi, mieux qu'à Paris. Les légumes surtout y sont divinement apprêtés. À Londres, j'ai appris que l'on cultive vingt-deux espèces de pommes de terre ; à Lyon, j'ai vu vingt-deux manières différentes de les apprêter, et douze au moins de ces manières sont inconnues à Paris ».

Je ne suis resté que 2 ans dans cette branche. Pourquoi ? Car un certains 12 Juillet 1998, j'ai du travailler le soir, tous ça parque un de mes collègue était sois disant malade. Mais j'appris quelques jours plus tard qu'il était en réalité en pleine forme, puisque je le vit dans un reportage montrant l'effervescence qu'il eu sur la plus belle avenue du monde... d'après les parisiens.

Ce jour là, je décida de trouver un autre emplois qui me permettrai de pouvoir regarder mon sport préféré.

Je suis devenu agent de sécurité incendie, le 01/02/99. Mais là aussi je ne me sentais pas épanouis, je préférais surtout aller draguer dans les bars, boites de nuit...( j'y reviendrai à un autre moment).

Le lendemain du 4 mai 2002 et après avoir décuver de la vielle, car mon club de foot devint champion de France pour la 1ère fois de son Histoire, j'allais voir ma mère et mon beau-père, en leur disant que je voulait travailler dans le monde du football.

Ils n'étaient pas d'accord, avançant comme argument que c'était pas facile et que je n'avais jamais joué au foot et que donc je me planterais.

De mon coté j'avançais comme argument que j'étais très bon au jeu de football manager. Mais que surtout mon trisaïeul était un joueur de foot.
D'ailleurs ce fut le premier français à inscrire un but sous le maillot tricolore (blanc à l'époque), lors du 1er match de l'équipe de France qui était opposée à la Belgique.
Il scora en équipe de France 6 buts en 14 matchs. Il jouait au Cercle Athlétique Paris.

Je n'ai pas eu la chance de le connaître,car il disparu à l'âge de 32 ans, mais dans mon grenier j'avais trouvé une vieille photo de mon arrière-arrière grand père : Louis Mesnier.

[img=https://2img.net/r/ihimizer/img179/2775/97372166qs6.jpg]


Après bien d'autres discutions houleuse, je n'arrivais pas à les convaincre, jusqu'à au 16 janvier 2007, anniversaire de mes 31 ans, où après qu'ils m'est offerts un superbe écran plat et home-cinéma, je leur dit qu'en septembre, je reprendrais mes études pour une période d'un an. Afin de devenir entraineur."


Tout à coup, une voix féminine réveil les voyageurs et moi-même de nos pensées : « Gorge de loup, garce SNCF et parc relais ».
Je me dirige donc vers la rue de la Fraternité, après avoir ajusté ma cravate et fumé la dernière latte de ma clope, je rentre dans la cour de cette école, qui forme les futurs entraineurs, gérants et présidents de différents sports professionnels.

J’entre donc dans la classe F1, (Foot et le 1 pour la section Entraîneur).

Après qu’une dizaine de nouveaux élèves ce soit présenté, vient mon tour :
« Bonjour, je me présente Sébastien Mesnier, j’ai 31 ans, j’ai fait quelques petits boulots avant savoir ce que je voulais faire, maintenant je le sais, devenir l’un des plus grand entraîneur français... ».

N.d.A :
*Jean Anthelme Brillat-Savarin, était un illustre gastronome français, qui fut, toute sa vie, un épicurien, au sens proprement philosophique du terme.

Bon début le foot n'apparait pas encore vraiment donc c'est cool, je suis impatient de savoir qui tu vas choisir où plutôt qui va te choisir...

1.02 Au pied de ma montagne.

Juillet 2008, je viens d’avoir mon diplôme en ayant juste eu la moyenne.

J’ai le choix entre devenir tout de suite entraineur ou devenir adjoint.
Vers la fin du mois, je reçois une proposition de contrat :






Après avoir mûrement réfléchis, j’accepte le contrat.
Vu que je suis très motivé par ce poste, je décide de me rendre directement à Grenoble, afin de remettre ce contrat signé dans les mains du président.

Je fais le plein de ma vieille saxo et prend la route à 06 heures.
Sur la route de la porte des Alpes, je m’arrête dans un néfaste-Food, ouvert toute la nuit. Après avoir engloutis rapidement un de leur menu morning, je roulai d’une seule traite, pleins phares, au mépris des radars et des limitations de vitesse.
Le long de la route en S, les forêts de conifères et les zones industrielles alternaient.
Il régnait comme une atmosphère légèrement morbide, comme souvent à la campagne lorsque le paysage n’arrive plus à masquer sa solitude profonde par la seule beauté de ses sites.

Tout a coup, entouré de sommets alpins majestueux, entre Chartreuse et Vercors, apparaît… Grenoble.

J’ai plus d’une heure d’avance, j’en profite donc pour lire la presse locale et me renseigner sur ce club.

Le GF38 va entamer sa troisième saison en première division, après ses passages manqués, puisque tous ponctué d’une relégation :
Lors de la saison 1960-1961, Grenoble termine 17ème.
Lors de la dernière journée de ce championnat, Grenoble pouvait encore croire à un maintien, mais leur déplacement à Valenciennes est ponctué par une défaite litigieuse 1-0, le but valenciennois accordé à Lubiato étant invalide, le ballon étant passé par le petit filet extérieur avant de rentrer dans la cage, ce qu'ont confirmé les joueurs valenciennois !!!
Et une descente lors de l’exercice 1962-1963, en terminant encore 17ème.

Lors de la dernière saison de ligue 2, l’équipe termina 3ème grâce à une remontée fantastique lui ayant permis de doubler l’Estac.

Je me renseigne aussi sur ce président japonais, c’est le président de la Sté Index Corporation (spécialisée dans les contenus et services pour téléphones portables). Il possède le club depuis décembre 2004 et il s’est rapidement emballé, promettant même la coupe aux grandes oreilles, pas une participation, mais la victoire !! Dans les dix ans, soit en 2014 !

Il s’est néanmoins engagé à combler le déficit financier auprès de la DNCG.
Il pâtit aussi d’une prise de décision parfois différée avec un président basé au Japon, d’un assistant P.Mazé, qui à perdu de son influence et un manageur général Hidetaka Ubagai, patron au quotidien mais flanqué d’un assistant indispensable pour la traduction… ça ne sera pas chose facile d’évoluer dans cet environnement.

Une grande inconnue demeure aussi. Elle concerne le recrutement, qui a mis beaucoup de temps à se mettre en marche.
Laurent Batlles a longtemps constitué le seul réel renfort d'un promu qui en a pourtant besoin.
Il ne sera que tardivement rejoint par d'autres joueurs expériementés, en charge d'encadrer un groupe qui peut aussi compter sur les anciens déjà présents lors de la montée ( Wimbée, Flachez,Vitakic ).
Faute de moyens suffisants, Mecha Bazdarevic devra bénificier au moins d'un groupe solidaire et qui se connaît bien.

Une fois arrivé vers le centre d’entrainement, je vois en gros sur les murs la devise du club : » Ensemble, gagnons les sommets ».
Je peux constater que les conditions d’entrainement ne sont pas au niveau de la L1, et que le centre de formation est classé 32ème sur….32 !!

L’objectif principal du club sera de se maintenir.

Mais attention danger, car plus hauts sont les sommets plus dure risque d’être la chute...

Je viens de rattraper ton épisode et ta destination me plaît bien ! C'est un joli défi à relever que de maintenir le club surtout quand on s'appelle Gones69 aller à Grenoble c'est sympa !

Je vais vérifier si ta story à son lien et si non je le fais ;)

J'aime beaucoup le défis, il serait interessant que tu revienne sur le forum au moins pour nous offrir la suite !

Faut demander à Chris de nous le ramener !

Moi meme j'ai pas de nouvelle du petit seb...

Hey je suis débordé par le taff en ce moment, deplus un bug a fait que j'ai du recommence à jouer en installant le patch 9.2

Quand j'ai vu marquer ton nom je me suis dit c'est bon il revient et tout ! Mais non... le taff c'est toujours chiant, en espérant te revoir un peu quand même !

Hélas j'ai du reforamter le pc, donc cette story est à supprimer, mais je viendrai en faire une nouvelle d'ici peu

Topic à supprimer svp