Ma seconde carrière

par **Gones69** Mer 23 Déc - 2:07

Lùisa, ma mère écouta le dernier album de Jimmy Hendrix, band of Gypsys, qui venait de décéder la vielle.
Mon père Claudio, ancien footballeur et entraineur, jouait avec mon frère Adailton, quand tout à coup, ma mère hurla de douleur.

Mon père pris vite la valise qui était prête depuis quelques jours et tous les trois montèrent rapidement dans la voiture.
Ce 19 septembre il faisait très chaud dans l'état de Goiàs, un des nombreux états du Brésil qui est situé entièrement dans les hauts-plateaux du pays. De plus à cette époque de l'année, c'est la saison sèche et il faisait au moins 30°c, les trois occupants de la voiture transpirait, pas vraiment à cause de la chaleur étouffante, mais surtout que Lùisa allait bientôt accoucher.

Dès que ma mère fut en train de commencer le travail, Adailton demanda à mon père, s'il pouvait aller jouer au foot avec moi quand nous serions revenus à la maison. Claudio dit à mon frère que c'était un peu tôt pour que je commence à jouer au foot.

Lorsque je commençai à jouer au foot, mon père me fait travailler tous les jours en m'obligeant à garder la tête droite lorsque j'ai la balle au pied et il me fait également bosser mon pied gauche.

A vingt-ans je signe mon tout premier contrat pro au club de Regatas Vasco de Gama, lors de ma première saison en 1987, je remporte la coupe Guanabra et le championnat de l'état de Rio de Janeiro.

Mais revenons à ce 19 septembre 1970, après que je fus née, mon père se rendit à l'état civil pour déclarer ma naissance, il remplit les longs formulaires de l'administration, âges et profession des parents, l'âge de mon grand-frère et enfin il écrivit mon nom de famille : Da Silva Nilmar et mon prénom ; Sonny Anderson.

Le 28 juin 2009, des représentants des Bad Gones, des Nucléos et des Lugdunum, sortent du bureau du président du club de l'Olympique Lyonnais, après avoir perdu le titre et corriger par le Barça, les différentes associations voulaient des explications et surtout la tête d'un homme.

Après avoir licencié Claude Puel, le président du club avait organisé une conférence de presse et comme à son habitude il ne laissa pas le temps au journaliste de poser des questions : " La saison dernière j'ai viré Alain Perrin, car les joueurs n'en voulaient plus, aujourd'hui je viens de licencié C. Puel à cause de la pression des supporters, avant de vous présenter le nouvel entraineur du club, je tiens à dire à tout le monde que je me suis fait avoir une fois par les joueurs et une autre fois par les supporters, maintenant c'est fini je ne répondrais plus aux personnes qui veulent que je renvois un entraineur.
Donc après avoir longuement réfléchis j'ai décidé de nommer un entraineur qui a fait le bonheur du club, qui le connait très bien et surtout qui va plaire à toutes les personnes qui aiment, supportent et travaillent pour l'OL.
Nicolas de Tavernos et Jean-Louis Triaud ont prouvé la saison dernière que nommer un ancien joueur qui n'a jamais entrainé peut s'avérer très bon pour le club. C'est pourquoi le nouvel entraîneur du club est Sonny Anderson Da Silva Nilmar. "

Lors de la reprise de l'entrainement le premier juillet, je décide de la tactique à venir et surtout je conserve tout le staff déjà en place, je sais que je n'ai pas le droit à l'erreur même si je suis le chouchou des supporters, ma carrière de joueur est désormais terminé, je débute là ma carrière d'entraineur.

Pour avoir été au club la saison dernière en tant qu'entraineur des attaquants, je sais ce qu'il manque à mon effectif, c'est pour cela que je décide de recruter Jérémy Sorbon, le défenseur de Caen et Kevin Gameiro, un futur attaquant de talent qui vient de Lorient.

Dans la foulée je résilie les contrats de clubs affiliée avec Saint Paul et Chambéry et prend à la place le club du Rayo Vallecano.
A mon effectif j'intègre Y. Tafer, qui me parait être un futur grand joueur et M. Gonalons qui a failli perdre sa jambe l'année dernière à cause d'une maladie et lors du stage à Tignes il a montré de bonne chose.

Les deux premières journées du championnat ne sont pas mal, Lopez, le joueur acheté le plus cher de l'histoire du club égalise face au Mans, la semaine suivante, Clerc et Tafer m'offre ma première victoire face à Valencienne.

Juste avant ce match eu lieu le tirage au sort des barrages de la ligue des champions, quand je vois que nous pouvons tomber contre Maribor, je me suis rappelé qu'il y a dix ans presque jour pour jour et seulement un mois après ma signature au club, Lyon manquait sa marche décisive vers la coupe au grande oreille, ce fut l'une des pages les plus sombres de l'Histoire du club, à l'époque c'était Bernard Lacombe l'entraineur, mais cette élimination donna de l'expérience au club.

Le tirage nous offre une belle et compliqué confrontation contre le second club de Madrid, l'Atlético.
C'est vrai qu'au moment du tirage au sort, je n'avais plus pensé à la nouvelle réforme de Platini, celle où les champions des "petits pays" doivent se rencontrer entre eux et ceux qui ont le meilleur classement, donc ceux des gros pays doivent s'affronter.

Nous perdons 3-0 chez eux et malgré la victoire 2_0 grâce à un doublé de Bodmer au match retour, on se fait éliminer de la ligue des champions, nous jouerons donc la coupe de l'UEFA, je viens à peine de commencer ma carrière de coach et déjà une grande désillusion...

par **CCM17** Mer 23 Déc - 3:42

Pas mal mais detaille plus les matchs ca serait sympa et aussi la coupe UEFA n'existe plus maintenant c'est l'europa ligue...

Gonalons a faillit perdre sa jambe sérieu??!!

par **Gones69** Mer 23 Déc - 11:08

Ce n'est que l'intro et je parlerai plus des matchs après

'l'équipe.fr a écrit:
l. A l'été 2008, le jeune milieu défensif, âgé alors de 19 ans, est victime d'un staphylocoque doré, une bactérie apparue à la suite d'une ampoule mal soignée, remontée dans la cheville et jusqu'au pubis. «J'ai suivi des soins intensifs à l'hôpital pendant dix jours», confie-t-il au lendemain de la victoire de l'OL (2-1). L'amputation est évoquée, son avenir de footballeur très compromis. «J'ai beaucoup douté, je me suis posé des questions, mais ma famille et mon agent m'ont soutenu dans ces moments difficiles.»

Après trois mois d'évolution favorable, Gonalons finit par retrouver les terrains d'entraînement. Mais le calvaire n'est pas terminé. Il doit suivre un lourd traitement médical. «Sous antibiotiques, je prenais quinze cachets par jour.» Pendant trois mois. Ce traitement usant n'altère pas sa motivation. Le Lyonnais passe la plus grande partie de son temps à travailler physiquement avec le préparateur de la réserve, Guillaume Tora. Et retrouve petit à petit son niveau. «Aujourd'hui, c'est du passé, je ne pense qu'au futur.»

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